Pourquoi l’autorisation de voyage NZeTA est-elle payante pour les voyageurs ?
Le NZeTA demande donc de payer des frais de dossier. Le tarif de l’autorisation de voyage électronique pour la Nouvelle-Zélande comprend plusieurs choses : le prix du visa électronique, le tarif de la prestation lorsqu’elle est effectuée par E-visa international. Par ailleurs, les voyageurs doivent également s’acquitter de l’IVL, la taxe de préservation de l’environnement, redevable par tous les étrangers qui entrent sur le territoire néo-zélandais.
Le prix du NZeTA, une manière de financer le service de l’Immigration
Les frais de dossier correspondant au prix de l’autorisation NZeTA sont avant tout déterminés pour pouvoir financer le service chargé de traiter les demandes. En effet, comme toute autorisation de voyage, le NZeTA est soumis à l’acceptation du service de l’Immigration. Les autorités néo-zélandaises reçoivent effectivement les dossiers et les valident si la demande est conforme aux recommandations du NZeTA.
À ce titre, le tarif proposé pour l’autorisation de voyage électronique permet de financer le service de l’Immigration. Le traitement des dossiers NZeTA demande de dégager du temps et du personnel qualifié qui mérite une rémunération en conséquence. En outre, le montant alloué aux autorisations de voyage permet également d’entretenir le programme de visa électronique, pour toujours proposer un service de qualité.
Enfin, le programme de visa électronique permet à la Nouvelle-Zélande de favoriser le tourisme sur son territoire. D’autant plus que tous les voyageurs étrangers doivent payer la taxe de protection de l’environnement. Cela accorde donc au pays de quoi préserver ses nombreux espaces naturels qui attirent chaque année de nombreux touristes.
Qu’est-ce que l’IVL, la taxe environnementale à payer en plus du NZeTA ?
La Nouvelle-Zélande a cela de particulier qu’elle demande à chaque voyageur étranger de payer une taxe environnementale. Depuis 2019, le gouvernement néo-zélandais a effectivement mis en place une taxe obligatoire pour tous les touristes. Au même titre que le NZeTA, les voyageurs doivent donc obligatoirement payer la taxe pour pouvoir entrer sur le territoire néo-zélandais.
L’IVL permet notamment de :
- financer la protection de l’environnement néo-zélandais ;
- assurer la pérennité des infrastructures profitables aux touristes ;
- réduire les émissions de gaz à effet de serre imputables au tourisme ;
- préserver la biodiversité du territoire néo-zélandais.
La taxe de préservation de l’environnement s’élève à 35$ néo-zélandais, ce qui revient à une vingtaine d’euros. Le montant de la taxe est systématiquement compris dans le prix du NZeTA. Le tarif de la prestation E-visa international prend donc en compte le montant de la taxe.