Faut-il faire une demande de NZeTA en cas de transit ?

NZeTA : les modalités concernant les transits par la Nouvelle-Zélande

La Nouvelle-Zélande fait partie des pays qui demandent aux voyageurs éligibles de faire une demande de visa électronique pour effectuer de simples transits. Cela prend en compte les transits par voie maritime ou aérienne et ne s’adresse qu’aux voyageurs faisant partie de la liste d’éligibilité au NZeTA. Les autres pays doivent donc se tourner vers un visa de transit classique.

La demande de NZeTA est alors obligatoire dès lors que les voyageurs prévoient de transiter par la Nouvelle-Zélande. Ainsi, que le transit soit très court ou, au contraire, plus long, les voyageurs doivent remplir le formulaire de demande en ligne. À ce titre, il est demandé de préciser si les demandeurs effectuent un simple transit ou s’ils séjournent plusieurs jours sur le territoire néo-zélandais.

Quand demander un NZeTA dans le cadre d’un transit en Nouvelle-Zélande ?

L’autorisation NZeTA ne s’adresse qu’à certaines nationalités. Actuellement, une liste de 60 pays peut demander le visa électronique pour voyager en Nouvelle-Zélande. En cas de transit, seuls les voyageurs ayant l’une des nationalités admissibles peuvent donc faire une demande de NZeTA. De ce fait, c’est une démarche obligatoire, dès lors qu’il s’agit de transiter par la Nouvelle-Zélande.

Globalement, voici quand la demande de NZeTA est obligatoire pour les voyageurs éligibles :

1. tous les transits et escales en Nouvelle-Zélande ;
2. escales et transits effectués via l’aéroport d’Auckland pour aller en Australie ou vers toute autre destination internationale ;
3. les séjours de moins de 90 jours.

En principe, les voyageurs doivent systématiquement préciser dans le formulaire de demande s’ils effectuent un simple transit ou un vrai séjour en Nouvelle-Zélande. En revanche, il est toujours possible pour les demandeurs de faire une demande classique, en payant la taxe de préservation de l’environnement.

De cette manière, les voyageurs peuvent rester sur le territoire néo-zélandais pendant une plus longue période. En revanche, la demande de NZeTA est nécessairement plus onéreuse. Si le but est de faire une escale sans sortir de l’aéroport, il convient donc davantage de demander le NZeTA de transit pour ne pas avoir à payer de frais supplémentaires.

Que doivent faire les voyageurs non-éligibles au NZeTA en cas de transit ?

Les voyageurs qui ne font pas partie de la liste d’éligibilité au NZeTA doivent obligatoirement être munis d’une autorisation de voyage en cas de transit. En effet, un visa de transit est demandé à tous les voyageurs qui posent un pied sur le territoire néo-zélandais. Cela inclut donc aussi bien les potentiels titulaires d’un NZeTA ainsi que les voyageurs d’autres nationalités.

L’obtention du visa de transit classique ne se fait pas de la même manière que pour le NZeTA. Les voyageurs peuvent se tourner vers la compagnie aérienne qu’ils ont sélectionnée pour leur voyage afin d’avoir de plus amples informations. Il n’est effectivement pas rare que les compagnies aériennes proposent de délivrer des visas de transit.

Autrement, le visa de transit pour la Nouvelle-Zélande peut faire l’objet d’une demande via une ambassade ou un consulat néo-zélandais. À l’instar des autres visas classiques, les voyageurs peuvent entamer une procédure de demande auprès des autorités consulaires. Pour ce faire, il est nécessaire d’apporter les billets d’avion qui attestent d’un transit en Nouvelle-Zélande.